Année 4, Numéro 13

Mai 1004

Édito Impertinence
 

Une rencontre historique !

 

Le Monde Anneau est très fier de participer à la rencontre historique du 15 mai 1004 qui réunira une dizaine de représentants d'Alliance issu des quatre coins de l'anneau monde. Un reporter spécial sera sur place afin d'offrir à chacun dès son retour un bilan complet de la rencontre exceptionnelle que personne ne souhaite unique.

 

Mais avant cela, place à l'actualité qui anime la scène internationale depuis notre dernier numéro, avec, pour la première fois, un supplément sportif digne des nombreux  événements athlétiques de ces derniers mois.

Ksav I.E. Bayré

 

 

 

Troubles au Kévendirbis, vu par M'kk


La SDN continue sa mutation

 


Après la conférence du Surdistan qui a vu l'adoption de textes majeurs comme la Charte pour la prévention de la peine de mort et des traitements inhumains et dégradants et autres textes majeurs, le travail continue. Une commission a été créée afin d'instituer un texte permettant la mise en place d'un tribunal international visant à juger les personnes soupçonnées d'avoir participé à des crimes contre l'humanité ou des crimes de génocides. Plusieurs délégations des nations membres y participent : le Bruzundanga, les Îles Unies, la Nouvelle Abeurie, le S'lip S'leed, le Serey, et le Wiroth.

On peut remarquer que, par exemple, dans le cas du Tangayika, après l'opération Papillon Bleu, seule la justice de ce pays a été chargée de juger les criminels de guerre qui n'avaient pas été visés par l'amnistie. On se rappellera le cas de M. Charles McArthur qui a pu fuir en Nouvelle Carinthie que ce pays refuse d'extrader et lui permet, ainsi, d'échapper au jugement ce qui n'a pas manqué d'attiser le différend opposant ces deux pays.

Un autre cas, plus important par le nombre de nations concernées est celui des prévenus en attente de jugement en Abyssinie dans le cadre d'un arrangement factuel entre nations, premier pas vers un tribunal international tout en demeurant de la cadre des justices nationales et des accords bilatéraux.


Des  Abeuriens - Ulfila Jaouar, porte-parole de l'ORC, la commandante Lesceline Traokère, chargée des relations avec les autres mouvements armés, la commandante Godgifu Jufrato, qui devait être la chef des opérations de l'ORC pour l'Anexia si un accord était trouvé, et le commandant Knut Grotouf. Des Anexiens - des membres des forces de la Spetsnaz, les forces de sécurité de la RPDA, et des membres de l'organisation FLNRA souhaitant renverser le régime anexien et auteurs d'attentats en RPDA. Un ancien haut fonctionnaire de l'Empire anexien exilé au Surdistan et qui souhaite garder son anonymat sera appelé pour son témoignage. Tout comme plusieurs Scaniens, témoins de l'affaire.

Certes, l'élaboration du texte pour la mise en place de ce tribunal international prend du temps. Qui pourra le reprocher car, sans cela, comment assurer que ce tribunal soit fonctionnel?

Petit à petit, de club des nations, la SDN se transforme en véritable institution supranationale, valeur de référence obligée. Bien entendu, cela n'est pas pour plaire à tous. Entre les nations par principe réfractaires et les nations de fait dans l'illégalité qui se profile, tout le monde n'est pas heureux de cette évolution. Mais cette opposition est la preuve intangible du poids sans cesse grandissant que prend la SDN sur la scène internationale?

Jean-Arthur Fraisru
« La Voix de Nordésie »


Le référendum en gage de démocratie ?

 


Ce début d'année est marqué par un recours massif aux référendums. Pas moins de huit nations ont eu recours à cet outil de consultation populaire, essentiellement pour des modifications des statuts nationaux ou pour la ratification d'accords internationaux.

Le premier de cette longue liste est celui qui s'est déroulé au St Maur au mois de janvier dernier. Ce scrutin était destiné à modifier les statuts et à doter la nation d'une constitution approuvée par le peuple. Votée par 51% des suffrages, le St Maur devient donc une république commerciale.

Le second référendum de l'année annoncé sur la liste officiel est celui organisé au Surdistan le 21 mars dernier. Celui-ci portait sur l'abolition de la peine de mort, consécutivement de la charte contre la peine de mort et les traitements dégradants mis en place à la SDN. Le résultat du scrutin est surprenant. Prés de 70% de la population s'est en effet opposé à l'abrogation de la peine capitale, suivant, selon le communiqué, la consigne de vote des anarchistes, des révolutionnaires et des populistes, alors même que ceux-ci, lors des élections législatives, ne recueillaient pas plus de 7% des voix 15 jours plus tôt.

La Pneuma connaissait à son tour une consultation générale le 15 avril dernier. Ce vote, annoncé depuis janvier, était destiné à modifié le statut de l'Empire. Adopté par prés de 74,7% de la population, SMI l'Empereur Cyril devient ainsi règne à présent sur la République cyrilienne. Le communiqué annonçant les résultats de ce vote est très complet, et l'on observe d'importante différence dans les résultats comme dans la participation qui varie entre une abstention nulle et de l'ordre de 16%.

Vient ensuite le lot des référendums du Kévendirbis (Languessillon, Surdistan, Lanérec et Herrberg) autour de l'accord entre ces quatre nations qui aura tant fait parler de lui lors de ces dernières semaines. Celui-ci est unanimement approuvé autour d'un flou démocratique perceptible aux observateurs habitués.

C'est le Languessillon qui ouvre le bal le 16 avril dernier. Ce scrutin était accompagné d'un second à propos de la création d'un corps militaire national. Il semble, bien que nous n'ayons pas les résultats précis, que ces deux votes aient été approuvé par la population.

Le second à s'exprimer est le Surdistan, le 18 avril. Le résultat est spectaculaire: 97% de oui avec une participation tout aussi spectaculaire de plus de 99% des inscrits, rompant de façon étonnante avec le faible taux de 45,6% de participation lors des élections législatives de mars dernier. Est-ce uniquement le débat passionné entourant cet accord qui serait à l'origine de cette recrudescence étrange de l'âme citoyenne ?

Le Lanérec prenait alors le chemin de l'urne le 20 avril. Le communiqué indiquant les résultats est surprenant à bien des égards. Non seulement, il n'y a aucune abstention, mais en plus, il y a eu plus de votes exprimés que d'inscrits sur les listes électorales. Ici, le Oui l'emporte avec prés de 62%.

L'Herrberg se prononçait quant à lui le 23 avril clôturant ainsi la course aux urnes de Kévendirbis, véritable quatre sans haie. Dans ce pays, où le traité est la cause d'un trouble avec le Néoltia, le texte est adopté par plus de 59% des votants.


Pour finir, la Nouvelle Abeurie a annoncé la tenue prochain d'un référendum sur une probable évolution des statuts des PFEA. Certains protectorats aspirants à l'autodétermination alors que d'autres, au contraire, souhaitent leur pleine adhésion au sein de l'Empire. Cette consultation populaire est très attendu dans la communauté abeurienne d'une part, mais aussi sur tout le continent espérien où une modification des frontières entraîneraient à coup sur une croissance de l'influence de l'Empire sur cette région d'Alliance.

Le Référendum est-il une panacée démocratique ?

A la lecture des résultats des derniers référendum, il apparaît nettement que celui-ci n'est nullement un gage de démocratie dans les pays qui le pratique. Lorsque l'on compare les taux de participation au Surdistan en moins de deux mois d'intervalles et sur trois scrutin majeur pour l'avenir du pays, on est en droit de se demander s'il s'agit d'un vote ou d'un jeu de hasard.

Le Languessillon procède, quant à lui, à des référendums surprises. D'un jour à l'autre, ses dirigeants politiques décident de la tenue d'un scrutin concernant un domaine surprenant. En effet, il s'agissait de la constitution d'une armée nationale, alors que cet état était quelques jours auparavant pacifique et signataire de la liste de l'ONV interdisant les armes. Comment ne pas croire que le peuple, au moment de déposer son enveloppe dans l'urne, ne fut pas gouverné par ses passions, au premier rang desquelles une crainte sublimée et enrichie par ses propres dirigeants, celle du Grand Duché de Néoltia.

Cependant, et malgré des exemples de mauvais usage, le Référendum est sans aucun doute une avancée majeur des nations dans la démocratie populaire (et non populiste) où tout un chacun serait maître du destin de sa société.

Ksav I.E. Bayré


En bref

 

Par X.B.

Ca bouge à l'ONV

L'emblématique couple Luzeroy - Tauchet-Guévarrat n'est plus à la tête de l'ONV depuis le 28 février dernier. Ce couple jouait à je t'aime moi non plus depuis leur accession à la présidence.

Le premier ne s'est pas représenté, mais a apporté son soutien à Mme Claire Brochard. Quant au second, il n'a pas réussi à dépasser le premier tour de l'élection où seuls 6 votes furent exprimés.

C'est aujourd'hui à Mme Stéphanie Améthyste, d'origine laudinienne, que revient la lourde tache d'animer une organisation éternellement sur le déclin depuis sa création. Celle-ci semble emplie de belles ambitions, espérons qu'elle saura se faire entendre.

Le Bal des roses

Suivant la tradition kwalienne, l'ensemble des dirigeants du Monde Anneau était convié au Bal des roses à Padkoi le 10 avril dernier.

Outre les diplomates de nombreuses nations en poste en RFMU, certains dirigeants d'Alliance en ont profité pour afficher leur attachement à la république, comme SM Louis 1er de Néohexagone, SMI Joël 1er du Jomi ou SM Maël II du Lanérec.

De l'avis de tous, cette grande manifestation réussie marquera longtemps les esprits.

 

180!

C'est le nombre de nation ouvertes à Alliance, soit 16 de plus par rapport à notre dernier numéro de janvier.
Les nouvelles nations se concentrent essentiellement autour de l'Océan Bleu à l'arrière ou sur le Kévendirbis. Nous leur souhaitons bonne route parmi nous.

Improvisons la réconciliation

le 11 avril s'est tenu un match d'improvisation théâtrale exceptionnelle opposant deux nations, si souvent brouillées par le passé : la Melpothalie (Hélène-Nie) et l'Abyssinie (LIM'AS). Une victoire serré pour la Melpothalie, avec un score de 7 à 6, pour un match où les deux équipes se sont montrées d'une égale performance. Pour ce premier match de la saison 1004, le symbole est de taille et il est à fort parier que l'improvisation théâtrale a de beaux jours devant elle.

P.A.

La FEDEP change de Protecteur

Après ses bons et loyaux services, couronnés par la médaille Léon VIII de la Paix, Paul de Melpothalie a déposé son titre de Protecteur.
Jean d'Athalie, élu avec 56% des suffrages au second tour, l'emporte sur son adversaire Jérôme Brochard, poulain de l'écurie protectorale, donné vainqueur avant le départ.

Jean d'Athalie, d'après son programme, mettra l'accent sur les affaires internes du Pays et laissera le champ diplomatique à d'autre. C'est ce qu'il a par ailleurs appliqué le 16 avril dernier lors des troubles du Kévendirbis.


De l'essaimage d'empires

 


Dans notre vaste monde d'Alliance, deux peuples dénotent particulièrement des autres par leur présence en de nombreuses régions, les alnéens et les abeuriens.

Ceux deux peuples sont issus de civilisations très différentes l'une de l'autre, ont connu une histoire tout aussi différente et ont leurs racines dans des continents (l'Artusinia et l'Espéra) très éloignés.

Pourtant, ces deux peuples ont la particularité d'avoir plus de représentants à l'extérieur des frontières d'origine qu'à l'intérieur, avec un taux de 71% d'abeuriens et de 84% d'alnéens vivant de dehors du pays d'origine.

Quelles sont les raisons de cette véritable essaimage de deux des empires les plus puissants et les plus respectés d'Alliance ?

Le Saint Empire d'Alnéae est un empire de marchands et de colons. Très tôt, des comptoirs commerciaux sont crées dans la riche mer de la Hanse. Depuis trois siècles, le SEA entretient également une colonie commerciale et balnéaire, la Nouvelle Walta. Ces territoires n'avaient pas de statuts particuliers jusqu'à la terrible guerre contre les sanguinaires, en novembre 1001. Face aux menaces Borgues, des constitutions ont été établies pour garantir le statut de colonies impériales à ces territoires.

Face à son expansion démographique des années 940, le SEA a du faire face a des besoins alimentaires toujours plus grands. Une expédition est envoyé vers l'Arrière et donne naissance progressivement à la Schupettéae qui acquièrent le statut de colonie impériale en 999. Un peu après le départ vers l'arrière, l'Empire organise en 956 une autre expédition destinée à la recherche de terres riches en forêts pour pouvoir approvisionner la métropole en bois de chauffage et de construction. C'est la Carouléae qui est ainsi créé, à l'arrière du Kévendirbis. Le Zagréae connaît une origine similaire et plus ancienne encore. Les pécheurs alnéens connaissent les côtes de l'actuelle colonie impériale depuis plus de 150 ans. Riches en poissons, elles fournissaient une pêche exceptionnelle à ces marins. Pour conserver le fruit de leur labeur, ils ont eu l'idée d'exploiter le sel sur la côte de Zag-Ishtar. Peu à peu, les sept colonies de Zagréae furent fondées et obtinrent officiellement leur reconnaissance impériale en août 1003.

Nous distinguons enfin une troisième raison qui explique la présence d'alnéens au quatre coins d'Alliance : la politique. Outre des raisons commerciales et alimentaires, le Saint Empire se distingue par une diplomatie forte et paternaliste. C'est ainsi que les douze cités états du Dodécapole, pour se prémunir des pillages des barbares du Daemor et par faute d'hégémonie de l'une d'entre elles, ont fait allégeance à l'Empereur-roi du Saint Empire d'Alnéae, SMIR Titof II. La colonie du Juriléae n'a pas toujours été rattaché à la couronne impériale. Anciennement colonie privé fondé par une noble famille alnéenne en 920, c'est pour des raisons politiques et par des moyens militaires qu'en 985 le Marquis Fafa de Turdéar céde sa colonie à l'Empereur. Le dernier territoire que nous rattacherons au SEA est le Royaume des Moumounes. Ce royaume à l'extrême bâbord d'Alliance possède des liens certains avec le Saint Empire. Le Prince-Consort Olivier, époux de SM la Reine Aurore, est d'origine alnéenne. De plus, cet état n'a ouvert que deux représentations internationales, dont une à Breith-Xadul. C'est d'ailleurs à cette ambassade qu'est hébergé et administré le site royal. Le Royaume des Moumounes n'est certes pas une colonie au même titre que le Juriléae, mais ses étroits liens politiques avec le Saint Empire nous permettent de le placer sur un même plan.

Le peuple de l''Empire Souverain de Nouvelle Abeurie se retrouve, tout comme celui du Saint Empire d'Alnéae, en de nombreuses régions d'Alliance, mais les causes sont toutes autres.

La première d'entre elle est historique. L'Abeurie connaît la Grande Guerre, composée de guerres à la fois civile et d'agressions extérieures, entre les années 993 et 1001. Dés le début de cette guerre, une grande vague de la population émigre vers les PFEA, la Laudinie puis, à partir de 997, la Pneuma. Ces populations fuient la guerre et chercheront à s'adapter à leur nouveau lieu de vie sans pour autant rechercher l'aculturation. Ces communautés abeuriennes gardent en effet le fort souvenir de la Grande Abeurie et n'effaceront jamais totalement les traces de leurs origines.

La seconde vague d'émigration est née de l'ouverture de la Nouvelle Abeurie à Alliance. C'est donc ici une raison politique qui en est à l'origine. Aux PFEA, à la Laudinie et à la Pneuma s'ajoutent de nouveaux pays, comme le Surdistan et la Melpothalie. C'est également à cette période que la ville libre d'An Kenmarre Aphssyde, composée de 10.000  abeuriens, s'émancipe symboliquement de la tutelle alnéenne.

Enfin, la troisième vague d'émigration du peuple abeurien s'explique par l'Opération Densité Vitale. Des milliers d'Abeuriens émigrent alors vers des destinations lointaines comme  Alizé (où 11,5% de la population est abeurienne), les Iles Serey (avec une communauté représentant 12% de la population totale), dans une moindre mesure, le S'lip S'leed, la Teutaisie ou le Wissenland et, comme toujours, vers les PFEA, la Laudinie et la Pneuma.

L'émigration abeuriennes vers les territoires de Clio, dont la découverte remonte aux années 800, procède de la même raison démographique. Les terres généreuses et fertiles ont en effet attiré depuis deux siècles des abeuriens toujours plus nombreux.

Quel est donc le visage de la Diaspora abeurienne ?

La communauté abeurienne d'Alliance se concentre pour une grande part en Espéra. On peut parler à juste titre d'Espéra abeurienne lorsque l'on évoque la partie arrière du continent. Les migrations se sont dirigées naturellement vers les pays frontaliers qui, pour certains d'entre eux, ont connu de nombreuses vagues d'arrivants, comme la Laudinie ou la Pneuma.

La Nouvelle Abeurie, grande nation de cette région du monde, possède une place importante sur le continent espérien. Elle est à l'origine de la création de l'organisation régionale ESPERA et est le pays hôte de ces institutions.

La présence éparse dans différents pays d'Alliance, comme Alizé et la Teutaisie d'une part, ou le S'lip S'leed d'autre part, est beaucoup plus récente. Ces vagues s'expliquent par l'ouverture de la Nouvelle Abeurie à l'ensemble d'Alliance et non plus seulement à son continent.

Mais, malgré cette ouverture, la Nouvelle Abeurie ne jouit pas du même prestige diplomatique que le Saint Empire d'Alnéae, symbolisé par SMIR Titof II.

SMIR Titof II a, en effet, la royale charge de régner sur 293 millions de sujets répartis sur plus de 10,4 millions de Km². Les sept colonies impériales, si l'on ajoute le Royaume des Moumounes, sont présents sur neuf continents différents. Ainsi, le SEA s'assure d'un rôle incontournable dans la gouvernance mondiale en tant qu'interlocuteur géographiquement proche de tous et de tout.

De plus, la diplomatie impériale est un autre exemple de cet impérialisme à l'alnéenne. Chaque nation d'Alliance est en effet assuré d'avoir un légat impérial auprès de ses dirigeants. Sa mission ? Offrir au Saint Empire la représentativité qui lui incombe, garantir les possibilités commerciales et faire de SMIR l'Empereur un interlocuteur obligatoire.

Ces deux Empires, différents sur de nombreux domaines sont donc, où que nous soyons, nécessairement nos voisins.

Il nous incombe de mieux les connaître, non pas pour s'en prémunir, mais au contraire pour tirer parti de leur présence afin d'enrichir notre culture et notre patrimoine. De la diversité naît la richesse.

Ksav I.E. Bayré
Illustration : S'lip S'leedr Tabula Institu

 


Voyage entre Brumaria et Soudanie

 


L’interminable côte de la Maurétanie s’ouvre soudain en une baie profonde, surplombée de massifs d’où descendent d’innombrables rivières. Tout au fond du golfe, je débarque à Cherchell sur l’estuaire de la Rivière rouge. Là j’emprunte une petit rafiot à M. Abdullah qui me fait remonter le fleuve jusqu’à la piste qui descend vers Gardaïa. Le dromadaire sera alors mon moyen de locomotion depuis la ville des piémonts de l’Axis. De là M. Samah me sert de guide jusqu’au mont Météor. Voici un des sites les plus incroyables du monde anneau. D’un cercle parfait il semble avoir été dessiné, avec d’abord une enceinte montagneuse qui ouvre sur un cratère placé sous un soleil écrasant de chaleur. Un phénomène qui laisse le monde scientifique sceptique mais le visiteur ébloui !

Je traverse l’erg occidental, immense étendue de pierres brûlées par soleil ; dans les ondes de chaleur se dessinent comme fantomatiques les crêtes rougeâtres de l’Axis, par-delà Pommaria. Je reprend le bateau à Safi, port à l’ambiance douce et paisible de la côte bâbord. Je laisse ainsi les maurétaniens, peuple mystérieux et fier, dont le soleil et l’espace semblent avoir pétrifié la vie en un temps lointain.

Escale à Cinq-Tropez : le paradis en cinq îles

La traversée de la mer des Coraux est agréable, le climat s’est adouci mais le soleil est toujours présent. Au loin, se dessine tout à coup les cinq points du dé de Cinq-Tropez, l’un des plus petits états du monde (195 Km²). On présente l’archipel comme le paradis sur Alliance, en tout cas la promotion touristique, véritable enjeu national, est omniprésente. C’est vrai qu’il a du charme ce petit bout d’Alizé, qui ne doit son statut particulier qu’à son taux de visiteurs hébergés !


Tout est ainsi fait pour satisfaire le client : plages de sable fin, cocotiers, cocktails et ballades en mer autour de Grande Terre, de Lagon ou du Lavandou. Je reste ainsi à profiter du bon temps et de l’ambiance de fête des soirées de Grande Terre. L’Eglise du Crix est-elle consciente de la grande ouverture d’esprit de certaines îliennes ?

De Nikaïa à Canyon rouge, voyage au centre de l’Alizé

Après la douceur de Cinq-Tropez, place à la foule de Nikaïa. La bouillonnante capitale d’Alizé regorge de trésors du passé – la piraterie – mais aussi des sites sacrés du Crix. Sur les rives de la mer des coraux, les villas rivalisent de luxe et de beauté alors que les équipements culturels et sportifs sont légion. J’en profite pour voir le match des Arlequins face à Vila Xurupita dans le stade Marcel-Abriat : les stars de l’ISC, chère à mon ami Jami Rokaai, l’emportent 2-1 devant un public nombreux et ravi. Alizé est un grand pays de sports mais sa capitale abrite de nombreux musées, une exposition sur Salvo Dila y fait recette.

La cité du Grand Duc est plaisante mais je décide de rejoindre un autre grand lieu du pays : le mont du Dragon près de la ville de Canyon-Rouge. Cette ville pionnière que relie la voie trans-alizéenne est surplombée d’un mont cracheur de fumée et plutôt menaçant.


Une ambiance irréelle et suffocante règne sur ses flancs, sur lesquels nombre de scientifiques planchent encore. Cette autre énigme géophysique a engendré la création de l’IGA, éminent institut de recherche géographique.

D’autres sites me tendent les bras : le delta du Mirmigh et sa faune unique ou le Grand désert de lave, théâtre des hallucinantes lumières d’Octobre rouge auraient pu faire l’objet à eux seuls d’un détour.

Zion : un pays aux mille facettes

Je voulais toutefois terminer mon périple dans ces mers par le golfe de Zion. Mon arrivée à la capitale ne fait que confirmer cette impression que donne le pays : une activité débordante au sein d’un société hétéroclite. Zion-City est une métropole qui s’aligne ses bâtisses blanches le long du golfe, alors qu’au loin les monts de Brigham Range enceignent l’horizon. J’étouffe un peu dans cette ville bigarrée mais qui ne semble jamais s’endormir. Je vogue vers l’île de Moronia pour y chercher un peu de repos en cette fin de séjour. Cette vaste île de 24000 Km² a toujours exprimé sinon son indépendance (émeutes en 912) tout du moins sa spécificité. La culture moronienne est entièrement tournée vers la mer, comme en témoigne la capitale  Oceania qui abrite l’ORI (institut de recherche océanographique). Une visite auprès des installations de l’ORI s’impose : la faune et la flore de ces mers chaudes sont exceptionnelles et leur présentation clôture à merveille ce périple maritime.

Jonas Laaske


Un, deux, trois... Explorez !

 


Est-ce l'effet de l'excellent article d'Olaf Namesdeo, intitulé "Un bien triste monde ?" dans le dernier Monde-Anneau ? Depuis quelque temps, certaines nations semblent prises d'effervescences exploratrices. Elles auraient en effet décidé d'explorer ce monde qui leur est encore si peu connu, "découvrir toute cette beauté qui est sous nos yeux, qui ne savent les voir.", comme l'écrivait mon collègue cité ci-dessus.

Certains explorent les terres, à la rencontre d'une faune et d'une flore foisonnante et si riche qu'une seule vie ne suffira pas à tout découvrir. L'Olissia, par exemple, explore le Caldera dont la faune se révèle fort surprenante. D'autres s'associent pour explorer ensemble, toutes disciplines confondues, un territoire sauvage et préservé. C'est le cas des réserves d'Unkentland, en Espéra, lieux d'étranges découvertes biologiques et archéologiques pour d'enthousiastes scientifiques jamlandais, akeraks et s'lip s'leedr.

D'autres encore explorent les mers. L'enjeu est de taille, et l'association fait donc la force : nous retrouvons le S'lip S'leed et le Jamland, nations exploratrices par excellence, suivies de l'Abyssinie et du Néohéxagone. Ces quatres nations sont parties à l'assaut de l'Océan des Triades (le plus grand d'Alliance connu à ce jour) depuis le 04 avril, divisées en trois flottes, composées de vingt navires, de montgolfières, et de tout un tas d'attirails scientifiques. Toutes les disciplines scientifiques s'y retrouvent : biologie terrestre et maritime, zoologie, botanique, sociologie, cartographie, linguistique, épidémiologie, etc,...

Il s'agit sans aucun doute ici de la plus grande expédition internationale scientifique jamais organisée jusqu'alors dans l'Histoire d'Alliance. Et les récits qui nous parviennent de ses hommes courageux affrontant les éléments et se confrontant à des cultures oubliées du fond des Ages en font rêver plus d'un.

A l'heure où le journal publie ces lignes, l'expédition "Triade" aurait déjà découvert deux espèces animales inconnues et une civilisation perdue ! Gageons que la suite de leurs aventures demeurent aussi riches en surprises et découvertes. Mais surtout prions pour qu'ils nous reviennent sains et sauf, survivant aux caprices d'un Océan puissant et gigantesque.

Nul doute que les aventures de ces pionniers de l'exploration moderne devraient susciter bien des vocations... Mon fils de 6 ans m'arrache le journal chaque matin et découpe les articles sur l'expédition Triade, puis les colle dans un beau cahier... Le soir, il les lit et regarde les quelques images qui nous soient parvenues. Quand je le regarde, ses yeux brillent. Il semble si heureux ! Merci à tous ces hommes qui nous font rêver, en risquant leurs vies dans l'exploration de mondes inconnus, révélant mille beautés ! Alors, je te réponds "non", Olaf : le monde n'est pas triste ! Loin de là...

P.A.
Illustration : Mykk'


Mais, pourquoi court-on ?

 


Il existe dans notre monde plusieurs compétitions qui consistent en la distribution de médailles, de récompenses, de prix. Ces compétitions se veulent une reconnaissance de la qualité d'un travail fourni dans un domaine. Elles sont destinées à une personne ou un groupe de personnes.

Dans le domaine des arts, deux compétitions principales ont marqués 1003. La remise des Skar à Belldona et le concours du court-métrage en Melpothalie. Tous deux concernent le cinéma. Il faut aussi y rajouter la section « arts, culture et humanités » de la médaille Léon VIII. Deux compétitions pour le cinéma, une seule pour la sculpture, la peinture, la littérature, le journalisme... Le poids de l'image semble marquer Alliance.

Viennent ensuite les sciences. En 1003 les prix décernés dans ce domaine le sont en Teutaisie dans plusieurs catégories : physique, chimie, médecine et biologie et économie et sciences sociales. Si une seule cérémonie internationale de reconnaissance de la qualité du travail fourni dans ce domaine existe, les domaines abordés sont variés et couvrent la totalité du spectre des sciences théoriques ou appliqués.

Le dernier domaine traité est celui des sports. Inutile de retenir chaque compétition de basket, ski, athlétisme et autres. Les championnats sont nombreux. Afin d'en intégrer une partie, j'ai tout de même choisi de garder le cas à part des Jeux d'Alliance. Ces jeux sont à part dans le monde du sport car ils concernent, presque!, l'ensemble des nations et l'ensemble des sports. La ville hôte, toujours pour 1003, était Kioubs (Abyssinie). Mais il ne faudrait pas omettre le Molédère qui est le pays fondateur de ce principe.

Le dernier domaine est celui de la paix. Deux prix : la médaille Léon VIII , catégorie « paix et action humanitaire » ainsi que le prix Laurent Ier de médecine du Laumi. Il est à noter que ce dernier n'a pas été attribué en 1003.

Comme on peut le voir, ce qui domine, ce sont les prix tournés sur un thème, un mode. La médaille Léon VIII est une exception en cela. Il s'agit de la seule récompense qui aborde des thèmes variés. Les Skar sont, d'une certaine manière, relativement variés mais il ne s'agit que du cinéma sous tous ses angles.

La distribution de ces prix montre une grande variété. Si la Melpothalie est récompensée pour son cinéma par les Skar et le concours du court-métrage, Paul de Melpothalie l'est aussi pour son action au niveau de l'ONV. L'Abyssinie est tout aussi bien placée : les recherches du professeur Kopuff sur le fulgurogaz, le travail des journalistes dans ce même journal (prix attribué en duo avec le S'lip S'leed) et aussi le choix de Kioubs pour les JA 1003.

Concernant le cinéma et la Melpothalie, Jean de la Belleville, directeur-général de l'ARTEM, s'explique : « (...) les Arts sont très développés dans la FEDEP (...). C'est un choix culturel qui remonte à plusieurs générations. D'un point de vue technique, le cinéma est arrivé très tôt chez nous et n'a cessé de se développer pour devenir aujourd'hui l'expression artistique la plus populaire. De nombreuses écoles existent et les subventions pour la pratique cinématographiques sont, depuis un peu plus d'un décennie, devenues très généreuses .» Viennent ensuite les pays avec plusieurs récompenses mais dans un seul domaine. Alizé est ainsi remarqué pour son cinéma, long-métrages, avec deux prix aux Skar mais aussi la première place dans les salles obscures avec Peter Pont (sources : Melponews de janvier 1004). Belldona vient juste après avec le même nombre de récompenses toujours dans le cinéma. Enfin, c'est le peloton : 9 pays primés dans des domaines aussi variés que la chimie, les sports, la médecine et bien d'autres encore. Certains sont de vieilles nations comme Phénixia ou l'Esnet, la Bakonie, d'autres sont bien plus récentes telles la Nouvelle Abeurie, l'Ofsavezjur ou l'Elvonie. Elles peuvent tout aussi être d'âge moyen comme la Ludicie ou le S'lip S'leed déjà cité. Il est entendu que l'âge concerne la date d'ouverture de ces pays en regard de 1003.

Les pays sont tout aussi variés lorsqu'on considère leur statut. Certaines ne sont pas des pays indépendants : l'Athalie et Apollinie. Elles peuvent être des dictatures avec parti unique :Bakonie, des fédérations très lâches : Phénixia, des États centralisé : Alizé, des monarchies : Abyssinie, des républiques : Esnet...

Au niveau des continents on retrouve la même variété.

Comme on peut le voir, il n'existe pas de recette miracle pour qu'un pays s'assure la primauté dans le monde ardu de la compétition internationale et sa reconnaissance par ses pairs. Les semblants de concentration de récompense disparaissent dès qu'on y regarde de plus près.

Ce qui montre encore plus la versatilité de ce statut momentané que donne la réception de la récompense c'est le temps. Une année un pays verra quelques élus primés, l'année suivante ce pays sera retourné dans ses pratiques autarciques. C'est l'accident, dans le sens statistique qui fait qu'un individu à un moment donné parfaitement aléatoire est mis en avant. Il n'y a pas de réelle recette pour gagner cette course. C'est l'inventivité de tous les moments et la rencontre fortuite d'un événement.

Olaf Namesdeo
« Dah Ghazet »
Illustration : S'lip S'leedr Tabula Institu


 


Kioubs 1003, les jeux sont fait !

Du trois au dix-sept décembre ont eu lieu les deuxième jeux d'Alliance. L'évènement qui a mobilisé les foules se tenait en Abyssinie dans une ambiance agréable et enthousiaste. Si Breith-Xadul avait essuyé les planches en organisant la première compétition, Kioubs assure les bases en offrant une référence d'organisation réussie et vivante. De la cérémonie d'ouverture à celle de clôture, l'ensemble du Monde Anneau n'a pas perdu une miette des formidables joutes qui ont opposé les nations dans une saine émulation.

On se remémorera l'intense finale du football masculin sacrant un inattendu San Antonio del Mar aux dépens du Jamland. La victoire des joueuses Bruzundangaises dans le tournoi féminin. Les sacres de la Maurienne Hélène Hint, du Tangayikais Marty N'lutairequingue et du couple Riihilahti-Litmanen pour le Sinivatsa. Le formidable record du monde de Concepcion Martin et la victoire du Laumien Julien Foncen sur Marathon. On ne pourra non plus oublier les médailles de Svyerx Qdarnh sur 5000m steeple féminin, d'Alain Mimoun sur 5000m steeple masculin, de Didi Dantec au Saut au bâton féminin, d'Isidore Malabet-Létoile au Saur au bâton masculin, du relais 4x100m Ludician pulvérisant le record du monde en 43''2, du relais Koban chez les dames. Également le sacre des skieurs Jean Château, Layla Packard, Feliszia Abesz, Raymond Dovergne, Libye Jalbert, David Rey, Ségolène de Jussieu et Ronnie Baian. Chacun aura encore en mémoire la victoire du quadrathlonien Aziz Bouhaziz et du formidable duel entre Simba la Kobane et Poninia l'Aborede dans l'épreuve féminine, ainsi que celles de Joel Beor au 500m homme, de Zara Von Pikkendorf au 500m femme, de Bernard Defontaine et Valérie Fontaine au javelot. Enfin le duel entre Tardini et Blareau aura marqué la compétition cycliste.
Tous les résultats à :
http://abyssinie.free.fr/ja1003/

Les Courses Hippiques en pleine bourre
Courant toute l'année les meilleurs étalons et les pires rosses se livrent des courses épiques et mémorables.
Tous les résultats dans le formidable magasine hippique d'alliance
http://perso.wanadoo.fr/teutaisie/potins.htm


Le Volley s'ouvre au monde

Joué au Laumi en janvier 1004, la première coupe du monde de Volley-ball, a réuni seize équipes pionnières. Après une sélection impitoyable, à l'issue de match au cordeau, c'est le Laumi qui chez lui, et avec le soutient de son public, remporte ce premier titre face à une prometteuse Abyssinie.

Les News du Volley :
* Le volley se structure avec la création de fédération régionale : création de l'OVDP le 25 janvier, de la SNVA le 2 février et de la FVBA le 4 avril.
* Première Coupe SNVA remportée par l'Abyssinie au Lanéréc.
* Première Coupe OVDP remportée par le Laumi
 

Omnisports
* Création de la Fédération de Baseball d'Alliance (FBA)
* Création de la Fédération Internationale de Gymnastique d'Alliance (FIGA)
* Création de l'Indoor Soccer Confederation of Alliance (ISCA)
* Mise à jour de la Fédération de Tennis d'Alliance (FITA)
* Match d'Improvisation en Melpothalie
(le résumé).

 
Les jeux 1004 en marche

Sortant de sa léthargie post jeux, le CIJA a annoncé l'ouverture de postes vacants en son sein et le début des candidatures pour l'accueil des Jeux 1004.
Le Laumi renouvelle sa candidature, mais d'autre villes sont dans les starting-block comme Santh, la capitale du Luzithan.


Coup de coeur pour les courses de
Baniiaves en Obéon

Le Football de plus en plus le sport numéro un d'Alliance


En effet si l'on en juge par le nombre de fédération internationale (3), par le succès grandissant de la ligue professionnelle (ISC), mais aussi par les compétitions de l'ALFA ou les championnats nationaux.


ISC : Les Arlequins en font voir de toutes les couleurs

Qui pourra arrêter les Arlequins de Nikaïa cette année ? On est bien en peine de le dire après la 4ème victoire d’affilée des alizéens la semaine passée. Les hommes de Sylvebarbe de Castar ont mis la pression sur leurs rivaux, car seuls les Vikings et le Vartizan ne sont pas trop distancés à ce jour. Les abyssins de Kioubs résistent alors que rien ne va plus pour les Arator d’Edoras, dernier malgré une équipe fantastique sur le papier. Une saison palpitante avec l’introduction de nouvelles règles, à suivre sur le site de l’ISC !

Retrouvez tous les résultats et images des matchs retransmis par Union Sports TV à : http://manuduch.chez.tiscali.fr/jamland/ISC/
 

 

Les News du Foot :

* Tournoi Pierre V du Lanérec
* Mise à jour du site de l'ALFA avec les résultats des compétitions
* L'intégrale des résultats du foot jomien
* Mise à jour du site de l'EBFA
* Mise à jour du site de la CODRY
* Création de la confédération Artusinia-Bugdumil
* L'intégrale des résultats du football zionais
* Première coupe du monde de l'ISCA aux Illes Unies, tous les résultats sur le site officiel.
* Une rencontre historique le match entre le Bongoland et Kanaan

Une Coupe du Monde en demie teinte ...

Joué à la fin du mois de décembre 1003 et début janvier 1004, la Coupe du Monde de Football, Aboreda 1003, aura subit les aléas de la concurrence offerte par les JA et par des soucis d'organisation conjoint de l'AFNF et de l'AFA. Cependant la compétition bien que peu médiatisée à remplie toutes ses promesses en matières sportives et a emporté la ferveur populaire dans tous les stades de la compétition.
C'est au final le Jannaton qui est sacré lors d'une finale somptueuse face à la révélation du tournoi, la Teutaisie. La troisième place échoie au Bruzundanga vainqueur du Hjemeland. Le tournoi aura été marqué par la déliquescence du champion sortant, le Fou-Nan éliminé dès le premier tour. On notera par ailleurs les bons parcours de l'Eroblica Aboreda, pays organisateur, du Zion, de Phenixia et du Molédère tous quart de finalistes.
L'ensemble des résultats à :
http://eroblica.free.fr/worldcup


L'Athlétisme dans tous ses Etats
Beau début de saison pour l'athlétisme, avec pas moins de dix courses organisées entre janvier et avril.
Le Meeting en Abeurie Mater 11 et 12 janvier avec :
Le Cross de Crevi du premier février
Le Cross de l'Indépendance du 8 février en Laudinie
Le Cross de l'Apollie du 22 février
Le Cross de Vaufrèges du 7 mars

Le Marathon de Jo City du 14 mars
Le Cross de Pneuma du 28 mars
Les Championnats Continentaux de Cross d'Espera
Les
Championnats Continentaux de Cross du Dryland


Le sport Alliancéen de plus en plus riche

Au rayon des nouveautés, deux compétions qui ont eu lieu en ce début d'année 1004 :
La Coupe du Monde Gymnastique à Romika (Latinia)
La
Coupe du Monde de Judo

   Retour de l'Escrime

En marge des jeux auxquels ils n'avaient pu participer pour des raisons techniques les meilleurs escrimeurs de l'Anneau nous ont régalé de leurs plus belles touches lors de leur championnat.

      Carton rouge,
  à la FUCA, feu de paille polygermanien qui aura semé un trouble inutile au sein du cyclisme alliancéen.

Pour autant la réforme de la FIC devient urgente pour l'engagement de plus de pays, face aux problèmes de chronométrage bien connu la solution est peut être à chercher dans la refonte des équipes dans de nouvelles associations de sponsors internationaux.

 
Les 6 nations de retour
Début d'année et début du tournoi des six nations avec des matchs couperets et la tension dans les stades. A noter en marge du tournoi l'éviction de Cinq-Tropez et une grogne grandissante des petites nations vis à vis d'une fédération pendant longtemps aux abonnées absentes.

La FISMA de retour
Pour finir nous saluons le grand retour des compétions de ski sur l'Anneau Monde, dans un début d'année décidément très riche en sports.
Mont Vaitan (Moledere)
* Saut.
* Biathlon
* Ski de Fond 10 km.
Jethro (Ludicia)
* Saut.
* Biathlon
* Ski de Fond 10 km.
Mont d'Endor (Eriador)